Vue partielle des participants au séminaire
150 hommes de Dieu togolais issus de 6 régions du pays ont reçu ce samedi 16 juillet à Lomé, leur attestation à la fin d’un séminaire de 4 jours. Démarrée le mercredi dernier sous le thème : 《les hommes de Dieu ensemble pour réussir la mission que Dieu leur a aidée》, la rencontre organisée
par le mouvement French Council Movement International branch Togo, a permis aux participants d’être outillés pour 《répondre à l’appel de Dieu sur le plan international》
Ce mouvement, dit l’apôtre Daniel Eklu, pasteur principal de l’Église Internationale du fondement et organisateur de la présente réunion au Togo, a pour objectif de《corriger les erreurs que nous commettons consciemment ou inconsciemment dans le ministère》, at-il chargé à la rédaction.
《Nous enseignons ce que les hommes de Dieu doivent faire et ce qu’ils ne doivent pas faire.》, a-t-il poursuivi.
Pour lui, il est très important d’apprendre au jour le jour.
《D’abord nous devons apprendre tous les jours. Sur le plan physique celui qui n’apprend plus est mort. Aujourd’hui les gens sont contents parce qu’ils ont compris qu’on doit apprendre pour enrichir notre connaissance. Les gens sont venus de partout du pays》, a indiqué l’apôtre Daniel Eklu qui est également le président du syndicat intercommunal des Associations des églises en Afrique « UNISSONS NOUS »
A la fin du séminaire, un bureau national de 5 membres présidé par le pasteur Panfile Akplogan a été élu pour le Togo. Outre le bureau national, chaque région a désigné six (6) représentants pour la coordination de ses activités. Plusieurs hommes de Dieu ont été également ordonnés évêques du mouvement.
《Il ne s’agit pas des évêques du Togo ni de leurs églises mais des évêques de French Council Movement International branche Togo》, a tenu à préciser à plusieurs reprises le conférencier international américain, Bishop Richilly Hygton Osgoodsoon au cours de la cérémonie d’ordination.
Il faut préciser que bien avant la présente rencontre tenue à l’Eglise internationale du fondement située à Yokoé (Lomé) en face de l’état civil, le mouvement menait essentiellement ses activités à travers les réseaux sociaux.
La Vie de l’Eglise