Démarré le 27 août dernier à Lomé, le 14e Congrès des Groupes bibliques universitaires et scolaires du Togo ont pris fin ce jour.
Placé sous le thème: 《Fondés sur le Roc, stables et résilients… (Matthieu 7:24-25)》, la rencontre a permis aux congressistes venus des différentes contrées du Togo d' »adopter les rapports d’activités financiers, d’adopter un plan stratégique et d’élire un nouveau conseil d’administration. »
Grande assise du mouvement Gbust qui se tient tous les 3 ans, le congrès actuel, initialement prévu pour l’année 2020, a été décalé d’un an. Ce qui constitue la particularité de ce 14e congrès.
《La particularité de ce congrès, c’est que nous le tenons un an après la date qui était initialement prévue. Le mandat finissait en 2020 mais à cause du coronavirus, nous avons dû reporter le congrès à cette année.》, a expliqué monsieur Elom Gbatchi, président sortant du conseil d’administration de Gbust.
Les Groupes bibliques universitaires et scolaires du Togo sont un mouvement d’élèves et d’étudiants dont la philosophie est les étudiants d’abord, a pour vision de transformer les étudiants afin de faire des impacts dans la société de manière générale, a indiqué le Secrétaire général des Gbust, M. Dzadu Armand.
Le mouvement Gbust qui est créé depuis 1974 oeuvre dans les écoles et universités du Togo et vient en appui dans le domaine de l’éducation.
Mais en dehors de ce point, les Gbust donnent aussi de la valeur, des compléments de compétences afin que les 《gbustiens》 soient au dessus de la mêlée sur le marché de l’emploi.
《Nous donnons des compétences en leadership, en entrepreneuriat, des valeurs comme le travail ardu, la discipline et l’assiduité. Ce sont des valeurs que nous puisons dans la bible car, nous estimons que la bible est le plus grand instrument de transformation qui existe sur terre.》, a rajouté M. Dzadu.
Durant ses 47 ans d’existence, les Gbust comptent de nos jours plusieurs anciens membres dont certains leur sont toujours restés fidèles et qui font la fierté dans leurs domaines d’activités dans notre pays.
《Le mouvement a été un grand soutien pour moi sur le plan spirituel dans ma formation scolaire, universitaire et dans mon affermissement spirituel également.》, a témoigné Mme Lydia Azamati épouse Bouaka, juriste, qui exhorte par ailleurs ses « jeunes frères et soeurs à profiter de cette chance et opportunité pour apprendre. »
La Vie de l’Eglise
