On s’apercevra au jour du règlement final que Dieu connaissait chacun par son nom. Un témoin invisible voit chacun de nos actes. “Je connais tes œuvres”, dit celui “qui marche au milieu des sept chandeliers d’or”. Apoc 2:1, 2.
Tout est noté: les occasions négligées et les efforts inlassables du bon berger pour chercher ceux qui suivaient des sentiers tortueux, afin de les ramener dans le chemin de la sécurité et de la paix. Maintes fois Dieu a adressé des appels aux amateurs de plaisir; maintes fois il a fait jaillir sur leur chemin la lumière de sa Parole afin qu’ils puissent voir le péril et y échapper. Mais ils ne cessent de plaisanter et de rire en suivant la voie large, jusqu’à ce qu’enfin le temps de grâce soit terminé. Les voies de Dieu sont justes et équitables, et quand la sentence sera prononcée contre ceux qui seront trouvés trop légers, toute bouche sera réduite au silence.
Le Tout-Puissant qui opère dans la nature et soutient toutes choses n’est pas, comme le prétendent quelques savants un principe, une énergie en action. Il est esprit; mais il est cependant un être personnel, car l’homme a été fait à son image. Dieu agit dans la nature, mais Dieu n’est pas la nature. Celle-ci est l’expression du caractère divin. Par elle, nous pouvons comprendre son amour, sa puissance et sa gloire; mais ne la considérons jamais comme étant Dieu lui-même. Les artistes produisent des œuvres merveilleuses qui font les délices des yeux. Elles nous donnent une idée de celui qui en est l’auteur; mais ces œuvres ne sont pas l’artiste. Ce n’est pas l’œuvre mais l’artiste qu’on juge digne d’honneur. De même, bien que la nature soit l’expression de la pensée de Dieu, ce n’est pas elle mais celui qui a créé la nature qui doit être adoré et exalté.
Shalom bien-aimé !