C’est une atmosphère inhabituelle que les employés et les responsables de la société de maison consignataire Mediterranean Shipping Company (MSC) ont vécue ce vendredi à leur siège. Très mécontents et furieux de la lenteur dans le traitement des dossiers au niveau de la MSC, les transitaires ont crié haro sur le Directeur Général Gregory Krief, son Adjoint Aristide AYIVI et toute son équipe ce matin.
«Vous n’avez jamais pensé que nous pouvons arriver jusqu’à ce niveau. Aujourd’hui, nous allons vous montrer que nous ne venons pas ici pour quémander. Nous réclamons nos droits. Si vous avez des familles que vous nourrissez, nous aussi c’est ce que nous faisons pour nourrir nos familles », a indiqué un transitaire très surchauffé.
A l’origine de ce mouvement ayant conduit à des manifestations d’humeur devant la société spécialisée dans le transport maritime, l’amateurisme, la médiocrité et l’incompétence notoire doublés du mépris et d’indifférence des dirigeants de MSC vis-à-vis des commissionnaires en douanes (transitaires).
«Depuis un mois nous déposons les dossiers mais ils ne les traitent pas à temps. Quand nous les appelons au téléphone ils ne répondent pas, nous leur écrivons sur le mail et le Whatsapp, mais ils ne répondent pas non plus», précise un manifestant.
En effet, depuis le déclenchement de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus, M. Gregory Krief et son équipe ont décidé d’informatiser leur système de traitement des dossiers, ceci dans le cadre d’empêcher un éventuel cas de contamination à la maladie du Covid-19 et de demeurer dans le strict respect des mesures de prévention de la maladie. Mais depuis la prise de cette décision, ils n’arrivent plus satisfaire les besoins des transitaires à temps. Ceci fait perdre des marchés à certains et d’autres sont obligés de payer les surestaries chaque fois.
Malgré un premier mouvement le vendredi 17 avril, la situation tombe toujours de Charybde en Scylla pour les transitaires. « Pour une opération qui se faisait avant en vingt-quatre heures, aujourd’hui nous passons parfois plus d’une semaine voire deux semaines sans avoir accès au service demandé. Alors nous leur avons demandé d’essayer d’augmenter durant cette période leur effectif afin de pouvoir nous satisfaire dans le délai normal puisque ceux qui sont là ne maîtrisent pas encore l’utilisation du système informatique. Mais ils ne veulent pas. Plutôt ils sont en train de nous narguer. Or si les dossiers ne sont pas traités à temps, c’est nous qui payons la surestarie (les frais supplémentaires) au port. Les clients n’aiment jamais payer cela. C’est une perte pour nous.», a expliqué un transitaire.


La soixantaine d’hommes et femmes mobilisées ce matin formule leur demande en trois points : faire en sorte que les factures leur parviennent en 24 heures, le bon aussi dans le même délai et que les formalités au niveau de Lomé Container Terminal soient également effectuées en 24 heures.
Après une longue période de dispute émaillée d’échanges violents de mots, les parties sont allées au tour d’une table de négociation.
Les premières informations sorties font état de ce que M. AYIVI Aristide, Directeur adjoint a de nouveau promis l’amélioration de la situation d’ici le mardi 28 avril prochain. Toutefois, un transitaire promet : «S’ils nous narguent, ils nous verront encore ici la semaine. Ce sera plus chaud qu’avant»
Il faut préciser que l’ancien système qui était en cours caractérisé par la transmission des dossiers main à main permettait à ceux-ci de tous faire en un jour ou au plus dans un délai de Transport Maritime/Les transitaires mécontents de la «médiocre prestation» de Mediterranean Shipping Company du « suffisant » Gregory Krief ont donné de la voix ce vendredi
C’est une atmosphère inhabituelle que les employés et les responsables de la société de maison consignataire Mediterranean Shipping Company (MSC) ont vécue ce vendredi à leur siège. Très mécontents et furieux de la lenteur dans le traitement des dossiers au niveau de la MSC, les transitaires ont crié haro sur le Directeur Général Gregory Krief, son Adjoint Aristide AYIVI et toute son équipe ce matin.
«Vous n’avez jamais pensé que nous pouvons arriver jusqu’à ce niveau. Aujourd’hui, nous allons vous montrer que nous ne venons pas ici pour quémander. Nous réclamons nos droits. Si vous avez des familles que vous nourrissez, nous aussi c’est ce que nous faisons pour nourrir nos familles », a indiqué un transitaire très surchauffé.


A l’origine de ce mouvement ayant conduit à des manifestations d’humeur devant la société spécialisée dans le transport maritime, l’amateurisme, la médiocrité et l’incompétence notoire doublés du mépris et d’indifférence des dirigeants de MSC vis-à-vis des commissionnaires en douanes (transitaires).
«Depuis un mois nous déposons les dossiers mais ils ne les traitent pas à temps. Quand nous les appelons au téléphone ils ne répondent pas, nous leur écrivons sur le mail et le Whatsapp, mais ils ne répondent pas non plus», précise un manifestant.
En effet, depuis le déclenchement de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus, M. Gregory Krief et son équipe ont décidé d’informatiser leur système de traitement des dossiers, ceci dans le cadre d’empêcher un éventuel cas de contamination à la maladie du Covid-19 et de demeurer dans le strict respect des mesures de prévention de la maladie. Mais depuis la prise de cette décision, ils n’arrivent plus satisfaire les besoins des transitaires à temps. Ceci fait perdre des marchés à certains et d’autres sont obligés de payer les surestaries chaque fois.
Malgré un premier mouvement le vendredi 17 avril, la situation tombe toujours de Charybde en Scylla pour les transitaires. « Pour une opération qui se faisait avant en vingt-quatre heures, aujourd’hui nous passons parfois plus d’une semaine voire deux semaines sans avoir accès au service demandé. Alors nous leur avons demandé d’essayer d’augmenter durant cette période leur effectif afin de pouvoir nous satisfaire dans le délai normal puisque ceux qui sont là ne maîtrisent pas encore l’utilisation du système informatique. Mais ils ne veulent pas. Plutôt ils sont en train de nous narguer. Or si les dossiers ne sont pas traités à temps, c’est nous qui payons la surestarie (les frais supplémentaires) au port. Les clients n’aiment jamais payer cela. C’est une perte pour nous.», a expliqué un transitaire.
La soixantaine d’hommes et femmes mobilisées ce matin formule leur demande en trois points : faire en sorte que les factures leur parviennent en 24 heures, le bon aussi dans le même délai et que les formalités au niveau de Lomé Container Terminal soient également effectuées en 24 heures.
Après une longue période de dispute émaillée d’échanges violents de mots, les parties sont allées au tour d’une table de négociation.
Les premières informations sorties font état de ce que M. AYIVI Aristide, Directeur adjoint a de nouveau promis l’amélioration de la situation d’ici le mardi 28 avril prochain. Toutefois, un transitaire promet : «S’ils nous narguent, ils nous verront encore ici la semaine prochaine. Ce sera plus chaud qu’avant».
Il faut préciser que l’ancien système qui était en cours caractérisé par la transmission des dossiers main à main permettait à ceux-ci de tous faire en un jour ou au plus dans un délai de 48 heures.
Comme pour confirmer son caractère hautain que dénoncent les commissionnaires, approché par les médias pour donner la version des faits de sa société, le sieur AYIVI a laissé entendre dans une arrogance puante : « Qui vous a appelés ici ? »
Nous y reviendrons pour vous donner l’évolution de la situation.
Jacob
48 heures.
Comme pour confirmer son caractère hautain que dénoncent les commissionnaires, approché par les médias pour donner la version des faits de sa société, le sieur AYIVI a laissé entendre dans une arrogance puante : « Qui vous a appelés ici ? »
Nous y reviendrons pour vous donner l’évolution de la situation.
Jacob

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